Contradictions Evolutionnistes
Les sciences
empiriques sont fondées sur des lois représentant l’ordre et la répétition. La
théorie évolutionniste est basée sur le hasard et enseigne que si l’on a
suffisamment de temps, l’ordre naîtra du désordre. La théorie évolutionniste
enseigne aussi que toute chose vient du néant. Ces deux dogmes contredisent la
vie réelle, et ni l’un, ni l’autre ne peuvent être reproduits scientifiquement
dans un laboratoire.
La seconde loi
de la thermodynamique insiste que, sans intervention extérieure (par exemple :
Dieu ou l’homme), toute chose passe de l’ordre vers le désordre, du complexe
vers le simple. L’évolutionnisme prétend le contraire.
Selon une loi
fondamentale de la biologie toutes les cellules viennent des cellules
préexistantes. L’évolutionnisme prétend le contraire avec la théorie de “la
biogenèse spontanée”, malgré le fait que cette théorie contredise toute
expérience scientifique !
L’évolutionnisme se base sur le principe des transitions progressives se
développant en nouvelles espèces, du simple vers le complexe. Sans exception,
les fossiles des plantes et des animaux sont complexes. Même les cellules les
plus simples -vivantes ou fossilisées- sont très complexes avec leurs chaînes
d’ADN et d’ARN sans parler de leurs protéines innombrables ! Aucune forme
transitoire n’existe, ni dans les fossiles, ni dans la vie.
Enfin,
l’absence d’un mécanisme moteur pour faire fonctionner l’évolution est tellement
embarrassante que certains évolutionnistes éminents proposent que
le mécanisme de l’évolution soit la métaphysique, c’est à dire une puissance
surnaturelle!
N’avait-il pas
raison, le professeur John Moore, quand il dit devant ses collègues :
“L’évolutionnisme est plutôt une religion fantaisiste qu’une science... plus
illogique que biologique.”
Les théories
évolutionnistes ne sont pas soutenues par des preuves empiriques
(expérimentales) ; elles sont proposées par la philosophie du naturalisme,
philosophie qui renie le surnaturel. Logiquement, en se convertissant à Dieu,
on doit rejeter la philosophie du naturalisme car les deux croyances s’opposent.
