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 La Souffrance

 

Cet article est basé sur le premier chapître du livre “The Case For Faith” (Plaidoyer pour la foi, éditions Vida) par Lee Strobel, 2000. 

L’existence de la souffrance n’est-t-elle
pas la preuve qu’il n’y a point de Dieu ?
 

Autrement dit : S’il y a un Dieu, pourquoi y a-t-il tant de souffrance?

 

1. Qui pourrait prouver la non-existence de Dieu ? 

D’un point de vue humain, personne ne peut réfuter l’existence de Dieu.  Ce serait de la folie de prétendre connaître tout, voir tout, être partout et tout cela en tout temps!  Une telle prétention ferait de cette personne l’égal du dieu qu’il nie.  Le sceptique et philosophe David Hume a reconnu qu’il y a “la toute petite possibilité” que Dieu existe.

 

Autant que la souffrance suggère l’absence de Dieu, autant la bonté suggère la présence de Dieu.  Au fond, la croyance en Dieu, ou en son absence, est une question morale.

 

Psaume 14:1:  L’insensé dit dans son coeur, il n’y a pas de Dieu.

 

 

2. Pourquoi Dieu ne peut-il pas se révéler plus ouvertement, d’une façon incontestable ?

 

2A.      Le facteur de l’Amour

Au fond, tout ceci est une question de liberté.  Dieu veut être aimé par l’homme, ce qui oblige l’homme à un choix.  Personne ne peut être contraint d’aimer.  Il faut obligatoirement un libre choix.

 

2B.     Le facteur de la Sincérité

Dieu a laissé de nombreux indices dans la nature permettant aux personnes intéressées d’en déduire son existence sans l’aide d’une révélation spéciale.  Celui qui désire sincèrement trouver Dieu fera l’effort nécessaire pour le chercher et le trouvera.  Selon Louis Pasteur, “La vie ne peut venir que de la vie.”  Ceci est un principe fondamental de la biologie. 

                Maison donc maçon.

                Poème donc poète.

                Horloge donc horloger

                Création donc Créateur.

 

Jérémie 29:13:  “Vous me chercherez, et vous me trouverez, si vous me cherchez de tout votre coeur.”

 

2C.      Le facteur de la Foi

Peut-on exercer la foi autrement que dans l’ambiguïté ?  Une chose évidente ne peut être l’objet de la foi car elle est évidente sans la foi.  Croire en Dieu nécessite un certain effort.  Son existence doit être tirée des indices et donc par l’intelligence et le raisonnement. 

Hébreux  11:1:  “Or, la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas.”

 

 

3.  N’a-t-on pas le choix de ne pas croire en Dieu ?

Nous vivons dans un monde de souffrance, de méchanceté et de mort.  Voici donc l’énigme:  Il arrive souvent que les gens qui souffrent le plus soient croyants tandis que les gens les plus aisés se plaignent de la souffrance pour soutenir leur propre incrédulité!

 

L’athéisme est une réponse facile, bon marché, voire orgueilleuse, prétendant illuminer les ignorants, c’est-à-dire les 95% de l’humanité, qui croient en Dieu en dépit de leurs souffrances.  L’athéisme dépouille la mort de toute signification et n’accorde aucune signification à la vie même.   Depuis le 18ème siècle il élabore une mythologie évolutionniste reculant “la cause première” à un moment infiniment lointain dans le passé ... mais elle est toujours là, cette “cause première.”

 

L’athéisme évolutionniste prétend que l’univers progresse vers l’utopie, toujours vers le haut, vers l’ultime.  Ainsi l’athée se trouve face à un dilemme aussi.  Logiquement, l’idée de direction suggère un but final: comment peut on savoir que les choses évoluent vers le haut si le haut et le bas n’existent pas?  Qu’est-ce qui sera ce point de référence ambigu dans lequel l’athéisme met tant de foi... ? 

 

Hume n’a-t-il pas dit qu’il y a toujours une “toute petite possibilité” que Dieu existe ?  N’est-ce pas ce que Jésus disait, en proclamant que le véritable chemin vers Dieu était tout petit et très resserré?  (Matthieu 7:14  “Etroite est la porte, resserré le chemin qui mène à la vie, et il y en a peu qui les trouve.”)  Le grand scientifique athée Isaac Asimov était honnête quand il a remarqué qu’il ne pouvait pas prouver l’absence de Dieu mais qu’il choisissait de ne pas croire en lui.  L’ATHEE CHOISIT DE NE PAS CROIRE EN DIEU.    Ainsi l’athée sera redevable envers Dieu pour n’avoir pas poursuivi avec sérieux cette “toute petite” piste jusqu’au bout. 

 

 

4.  S’il n’y a pas de Dieu, d’où vient la souffrance ?

 

La mythologie évolutionniste de la religion athée nous assure que la souffrance et la mort sont le moyen suprême  dont se sert la Nature  pour faire avancer l’évolution.  Quel triste bonheur !  L’athéisme ne règle donc pas le problème.  D’un côté, la souffrance est “mal” permettant de critiquer Dieu, puis, de l’autre côté elle est “bien” permettant de soutenir l’athéisme.  Cela ne peut pas aller !  On joue un double jeu.  Quoi qu’il en soit, la croyance des athées contredit la réalité puisque toutes choses, sans contradiction, sont en train de se dégrader, et vont vers la désintégration : tout progresse vers la mort et non pas vers l’utopie. 

 

La réalité, c’est que la cause principale de la souffrance, c’est l’homme.   Beaucoup de souffrance résulte directement de nos propres pratiques malsaines et volontaires (cigarettes, alcool, drogues, sexualité à risque, etc.) Certaines personnes ont pour objectif la méchanceté.  D’autres ne font pas le bien dont elles sont capables. 

 

Sur la petite échelle la souffrance d’autrui est entraînée par le choix de l’individu à tuer, à médire, à être égoïste, à pervertir la sexualité, à renier ses engagements, à ne pas respecter les lois, à agir d’une façon irresponsable, etc.  C’est NOUS qui propageons notre propre souffrance et celle d’autrui.  Qui peut prétendre être absolument “bon,” aimant son prochain sans motif avare, égoïste ou impur ?

 

Sur la grande échelle, la plus grande source de souffrance est l’Etat marié à quelconque religion ou philosophie.  Les hommes de pouvoir se sont souvent servis de la religion (la philosophie) pour asservir et manipuler la population.

                La religion athée, appliquant les principes de la mythologie évolutionniste dans les pays fascistes et communistes, persécutait, torturait et tuait plus de monde que n’importe quel autre fléau de l’histoire.  Même dans les pays dits “libres” les jeunes sont contraints par manipulation éducative et par crainte de pressions sociales  à croire en la mythologie évolutionniste, bien que celle-ci soit reconnue pour être un principe d’inégalité et de violence.

 

                La religion romaine, dans son époque païenne, persécutait, torturait et tuait les chrétiens.  Puis, comme un loup habillé en peau de mouton, dans son époque dite “catholique”,  la religion romaine persécutait, torturait et tuait des dizaines de millions de chrétiens et de païens.

 

                La religion musulmane s’est répandue également en persécutant, torturant et tuant les peuples.

 

 

5. Pourquoi se pose-t-on la question de la souffrance ?

 

Le fait même de se poser la question oblige l’existence d’une différence réelle entre le bien et le mal.  Quelque part il existe une norme pour évaluer nos expériences.  Ce standard, ce modèle par excellence, ce Bien Suprême, c’est Dieu.  Une morale “démocratique” est vouée à l’échec faute de fondement stable.  Sans un modèle absolu “quelque part” nous ne pourrions jamais déterminer que le mal soit réellement mal.  Par exemple, le froid est reconnu pas rapport à l’absence de chaleur.  D’une façon semblable, le mal est ce qui s’écarte de ce Bien Suprême.  Plus on s’éloigne du modèle, pire est le mal. 

 

Quand nous sommes ahuris par la souffrance, nous réclamons ce qui devrait être mais qui n’est pas:  “Ce n’est pas juste!  La vie devrait être autrement!”

 

 

6. Alors, pourquoi Dieu tolère-t-il la souffrance ?

Romains 8:28:  “Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein.”

 

6A.  Si Dieu supprimait toute cause de souffrance, où s’arrêterait-il ? 

C’est une question de tout ou de rien.  Toute personne cause la souffrance de quelqu’un.  Ainsi, personne ne serait épargnée si Dieu détruisait tout ce qui cause la souffrance. 

 

“Quand on utilise la force pour empêcher le mal, on supprime la liberté.  Pour empêcher tout mal, il faut donc supprimer toute liberté et réduire les gens au niveau des marionnettes.  Cela veut dire qu’on n’aurait même pas le droit d’aimer d’une façon libre.” 

 

6B.  La souffrance a de l’utilité. 

                * pour la protection du corps.  Le système nerveux réagit aux souffrances pour protéger le

corps.

                * pour l’apprentissage de la vie.  L’expérience humaine nous enseigne que la difficulté (souffrance, douleur, etc.) est un facteur majeur de l’apprentissage.  “Les dentistes, les entraîneurs des athlètes, les enseignants et les parents savent qu’il y a des fois, où, faire le bien, c'est ne pas être gentil.”  Par ailleurs, beaucoup d’aventuriers sont devenus des héros à travers leurs épreuves.

                * comme exemple de la repentance.  Quand on ressent la douleur, la réaction naturelle est

de se reculer et de faire autrement.  De la même façon, nos douleurs morales devraient nous pousser à la repentance envers Dieu: reconnaître nos torts et changer notre manière de vivre.

                * comme moyen de s’humilier devant Dieu.  La douleur et la souffrance sont souvent le

seul moyen par lequel des gens se soumettent à Dieu et cherchent le remède qui est Christ.  Ainsi Dieu est à la portée de chacun, même au sein de leur souffrance.

 

6C. Le jour viendra où Dieu mettra fin à toute souffrance.  Dieu repousse ce jour redoutable pour que tous ceux qui suivent les indices puissent les suivre jusqu’au bout. 

 

 

7.  N’est-ce pas la faute à nos limitations humaines que nous avons du mal à voir l'ensemble ?

Rom 8:22:  “Jusqu’à ce jour, la création toute entière soupire et souffre les douleurs de l’enfantement.”

Actes 3:21 “Jésus-Christ, que le ciel doit recevoir jusqu’aux temps du rétablissement de toutes choses...”

 

Ce qui nous gène le plus c’est la quantité et la durée de souffrance et non pas tellement la souffrance en elle-même.  Nous sommes impatients de voir la justice divine s’accomplir.  Comme une personne qui lit la moitié d’un livre et puis lit la fin du livre sans suivre le fil donné par l’auteur.  Nous aimerions faire cela avec l’histoire.

 

Selon les Ecritures, il y a un plan et Dieu poursuit son plan avec précision.

                * Dieu existe. Il est éternel.  Le temps ne le gène pas.

                * L’homme s’est rebellé et se rebelle encore aujourd’hui.

                * La souffrance et la mort découlent de la rébellion humaine.

                * Dieu a fait tout ce qui est possible pour réconcilier chaque personne avec Lui-même.

* Dieu établira un temps où tout se déroulera comme il le devrait, sans souffrance, mal, etc. (Le terme théologique est le “millenium” qui veut dire “le règne de mille ans. ”)

 

 

8.  Dieu s’est-il trompé dans son choix de réaliser la création ?

1Pierre 1:20:  “... Christ, comme un agneau sans défaut et sans tache, prédestiné avant la fondation de monde, il fut manifesté à la fin des temps, à cause de vous...”

 

Les Ecritures enseignent clairement que Dieu a pesé ce problème de la souffrance avant de décider de s'engager dans une création.  Valait-il la peine de créer des êtres libres portant son image ?  Certainement ils s’écarteraient, ils se rebelleraient.  Il a fallu que Dieu résolve ce problème  avant que le problème puisse voir le jour.  Si Dieu allait créer l’homme, il ne désirait perdre aucun, absolument aucun de ces êtres créés à sa propre image.

 

“Libre” signifie “choix” et “conséquences” : pas de conséquences, pas de choix ; pas de choix, pas de liberté.  Au sein même de la décision de créer les êtres humains se trouvait la possibilité (et non pas la nécessité) du mal et, par conséquent la souffrance.

 

Aujourd’hui, le choix existe encore.  On a la possibilité de choisir de suivre ou non le Dieu Créateur.

 

2Pierre 3:9:  “Dieu use de patience envers vous, ne voulant qu’aucun périsse, mais voulant que tous arrivent à la repentance.”

 

Romains 5:8: “Dieu prouve son amour envers nous en ce que nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous.”

 

 

9.  N’est-ce pas vrai que le respect des lois de Dieu servirait à minimiser la souffrance ? 

Luc 16:29:  “Ils ont Moïse et les prophètes; qu’ils les écoutent.”

 

Sachant que l’histoire humaine serait bien longue, Dieu a donné des règles (comme les Dix Commandements) pour maintenir l’ordre et minimiser la souffrance.  Quand une personne ne respecte pas les lois de Dieu, elle propage la souffrance d’autrui, qu’elle soit corporelle, morale, spirituelle ou émotionnelle.  Les lois se résument en deux phrases: AIMER DIEU, AIMER SON PROCHAIN.

 

Pourquoi l’athée respecterait-il une quelconque loi?  “Ni foi, ni loi, ni roi !”  Quelle loi juste existe pour l’athée?  Une loi :  la survie des plus forts dans la lutte pour l’existence.  Autrement dit, faire souffrir avant que l’autre ne vous fasse souffrir.  Il n’y a pas de place pour la bonté (sauf à des fins égoïstes); par contre l’athée a une nécessité pour la méchanceté.

 

Au contraire, le chrétien devrait faire son possible pour pratiquer la bonté envers Dieu et son prochain.  Chacun a le devoir moral de faire le bien. 

 

Esaïe 1:16-18:  “Otez de devant mes yeux la méchanceté de vos actions; cessez de faire le mal.  Apprenez à faire le bien, recherchez la justice, protégez l’opprimé; faites droit à l’orphelin, défendez la veuve.  Venez et plaidons! dit l’Eternel.”

 

 

10.  Quel droit Dieu a-t-il de nous critiquer voyant qu’il est bien à l’abri de nos souffrances ? 

Dieu se révèle dans la nature, d’une façon assez ambiguë.  Dans les Ecritures, Dieu se révèle par les prophètes, que l’on y croit ou pas.  Puis enfin, Dieu se révèle d’une troisième façon qui est inimaginable.

 

Hébreux 1:1-2:  “Après avoir autrefois, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, parlé à nos pères par les prophètes, Dieu, dans ces derniers temps, nous a parlé par le Fils.”

 

“Dans le monde réel de la souffrance, comment pourrait-on adorer un Dieu immunisé contre toute souffrance?” 

 

“Dieu répond à la souffrance en ce qu’il est descendu ici-bas, carrément au milieu de la souffrance.”  “Il est entré dans notre monde de chair et de sang, de larmes et de mort.  Il a souffert pour nous.  Nos souffrances sont plus supportables à la lumière de ses souffrances.”

 

“La solution à la souffrance c’est l’Incarnation, c’est Jésus.  Lui-même a vécu toute l’agonie,  Il a porté lui-même toutes les douleurs de ce monde... ce qui est bien plus inimaginable et déstabilisant et même plus impressionnant que le pouvoir divin nécessaire pour créer le monde.” 

 

En Esaïe 53 le Messie-Christ est dépeint tel que:

“une faible plante,” “un rejeton,” “ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards,” “méprisé,” “opprimé,”

“maltraité,” “abandonné des hommes,” “habitué à la souffrance,” “homme de douleur,” “dédaigné,”

“portant nos souffrances,” “puni, frappé de Dieu, humilié,” “blessé, brisé, châtié, meurtri,” “brisé par la souffrance.”              

 

“Dieu a dépassé la justice en portant incroyablement sur lui-même toute la souffrance...”  “Toutes les larmes que nous avons versées sont devenues ses larmes à lui.”  “Comment peut-on ne pas aimer un tel Etre?”

 

 

11.  A la lumière de Jésus-Christ, la mort ne pourrait-elle être considérée comme une bénédiction: la porte ouverte au bonheur éternel ?

Romains 8:18:  “J’estime que les souffrances du temps présent ne sauraient être comparées à la gloire à venir qui sera révélée pour nous.”

 

Quelle horreur inimaginable si nous étions obligés de subir nos souffrances sans jamais mourir:  la perpétuation éternelle de la souffrance.  Telle est à peu près la proposition de la réincarnation bouddhiste aussi bien que l’idée des peines millénaires du purgatoire catholique.  Quelle grâce Dieu nous a faite quand il a empêché Adam et ses descendants de vivre éternellement dans le péché.  C’est à Dieu, et non pas à nous, de déterminer la fin d’une vie. Mais ce jour-là nous quitterons le temporel et entrerons dans l’éternité. 

 

Dans cette optique, la vie est un entraînement en vue de l’éternité.  Cela est l’enseignement même de Jésus.  Quelle éternité préparez-vous?

 

“Voir Dieu, connaître Dieu, être dans la présence de Dieu... cela vaut mieux que tout ce que cette vie terrestre peut offrir...”

 

 

12.  L’athée n’a-t-il pas raison quand il crie “La vie ne doit pas être ainsi!” ?

Oui, la souffrance ne devrait pas exister.  Athée, croyant et Dieu lui-même sont d’accord sur ce point.  Soyons honnête et reconnaissons que c’est nous qui avons gâché la vie. 

 

Rappelez-vous de cette “toute petite possibilité” que Dieu existe.  Le jour où vous vous présenterez devant Dieu, l’existence de la souffrance ne sera pas acceptée comme excuse pour avoir ignoré Dieu.

 

N’aimeriez-vous pas être là pour l’accomplissement des promesses, quand Dieu rétablira toute choses telles qu’elles devraient être?  Ne voudriez-vous pas jouir d’une éternité sans souffrance ?

 

Matthieu 11:28:  “Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos...”

 

Le point de départ est de confier votre destin éternel à Jésus-Christ.  Il faut tout d’abord reconnaître que vos torts sont réellement des maux dont vous êtes responsables et coupables.  Ensuite il faut demander au Dieu qui a souffert de vous les enlever grâce à l’évangile de Jésus-Christ.

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Dernière modification : 19 juin 2009