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page 14 Les preuves de l'Evolution
1. Les fossiles servent encore à certaines personnes comme preuves de l'évolution. L'archéoptéryx est un exemple. L'archéoptéryx était considéré comme demi-reptile et demi-oiseau. Maintenant il est reconnu être oiseau à 100%, ayant des griffes comme les autruches et d'autres oiseaux vivants, des os solides comme les poulets et des dents comme l'on trouve sur d'autres oiseaux disparus. L'espoir d'avoir enfin trouvé un chaînon manquant a pousser les journaux à déclarer "la trouvaille" avant que des comparaisons sérieuses aient pu avoir lieu. Encore plus récemment les chercheurs ont trouve des ossements fossiles d’autres oiseaux considérés maintenant par les évolutionnistes comme étant bien plus anciens que ceux de l'archéoptéryx. Ainsi ce dernier ne peut point être l'ancêtre des oiseaux.(1) 2. La datation radiologique, basée sur beaucoup de suppositions et d'interprétation est la preuve la plus puissante. 3. Les couches sédentaires (basées sur un raisonnement circulaire selon lequel les fossiles donnent la date aux roches et les roches donnent la date aux fossiles) servent comme base de datation pour l'évolution. Évidemment, les dates ont été établies par des évolutionnistes avec leurs préjugés pour permettre le temps considéré nécessaire pour que le hasard "développe" les diverses espèces. La table géologique entière aurait une profondeur d'environ 150 kilomètres! Une chose qui n'existe nulle part dans le monde.
4. Les papillons poivrés en Angleterre (foncés ou clairs) ont été considérés comme une preuve de l'évolution. En réalité les deux sont encore des papillons: deux variétés d'une même espèce, comme deux races de chiens. page 15 5. Le mouvement des continents, basé sur le principe de l’uniformisme, sert actuellement comme une preuve de la date de la terre. Aujourd'hui on ne se sert guère plus des fossiles comme preuve de l'évolution tellement l'absence absolue des formes intermédiaires est devenue gênante. Dans l'absence de preuves réelles pour soutenir la théorie de l'évolution les adeptes de l'idéologie ont recours à trois méthodes pour maintenir les ouailles. 1. On parle avec dogmatisme pour humilier le public et les obliger à croire que la théorie soit vraie. 2. L'artiste dessine ( ou modèle) ce qui manque dans la réalité pour faire croire au public que de telles espèces auraient existé. Cette pratique est condamnée par le professeur A.E. Hooton de l'université de Harvard, un évolutionniste, qui a dit "Les restaurations prétendues des anciennes espèces de l'homme n'ont peu ou pas de valeur scientifique et tendent à tromper le public." 3. En outre, la répétition fréquente d'articles affirmant la véracité et le bien fondé de l'évolution fonctionne comme un lavage de cerveau pour éviter que la population se pose des questions. 4. Quelques scientifiques ont même eu recours à la falsification pour inventer des preuves afin de tromper le public. (2) Enfin, les preuves d'une évolution naturaliste manquent à un tel point que de plus en plus de scientifiques sont en train de se convertir soit au créationnisme soit au panthéisme. Néanmoins un grand nombre de scientifiques sont persuadés de la véracité de l'évolutionnisme et ils gardent leur "foi" en dépit du manque de preuves. Le professeur Denton nous fournit beaucoup de critiques de l’évolutionnisme tout en restant évolutionniste par conviction: (3)
page 16 "Depuis 1859, pas une seule découverte empirique ni un seul progrès scientifique n'ont apporté la moindre validation aux deux axiomes de base de la théorie macro-évo1utionniste de Darwin : d'une part le concept de continuité de la nature, c'est-à-dire l'idée d'un continuum fonctionnel de formes de vie enchaînant toutes les espèces et remontant jusqu'à la cellule primordiale; et, d'autre part, l'idée que le projet adaptatif de la vie est entièrement le résultat d'un processus aléatoire aveugle. En dépit d'un siècle d'efforts intensifs de la part des biologistes évolutionnistes, les principales objections soulevées par les critiques de Darwin comme Agassiz, Pictet, Bronn et Richard Owen n'ont pas été réfutées. L'imagination doit encore combler les "grands vides" reconnus par Darwin dans sa lettre à Asa Gray. "Il y a cent vingt ans, il était encore possible d'accorder à Darwin le bénéfice du doute et d'envisager que des découvertes futures finiraient éventuellement par combler les vides tellement apparents à l'époque. Une telle position est beaucoup moins soutenable aujourd'hui." "... Très peu de biologistes professionnels ont adapté la position nominaliste qui consiste à les (les explications des intervalles) considérer comme des inventions commodes et arbitraires de l'esprit." "Les intervalles ne peuvent être écartés comme inventions de l'esprit humain, comme simples produits de l'imagination anti-évolutionniste inspirée par des préjugés typologiques, essentialistes ou créationnistes" (la page 356). "...De même, le second grand axiome de la vision darwinienne du monde -le hasard pur comme seul agent créateur de l'évolution -a beaucoup perdu de sa crédibilité aujourd'hui. "...Alors que l'analogie entre la machine et l'organisme devient de plus en plus profonde, alors que la vie à l'échelle moléculaire prend de plus en plus l'apparence d'une technologie perfectionnée, l'impossibilité de simuler l'évolution darwinienne dans des systèmes artificiels n'est pas loin de constituer une réfutation logique formelle des prétentions évolutionnistes" (les pages 358-359).
Notes: [1] “L'avènement de la théorie d'Eldredge et Gould et la publicité dont elle a bénéficié ont eu une conséquence importante: pour la première fois, des biologistes peu au fait de la paléontologie ont pris conscience de l'absence des formes de transition. Après la révélation du "secret professionnel de la paléontologie" (Le Pouce du Panda, S.J. Gould, Livre du Poche, 1986), il semble peu probable qu'on assiste un jour au retour de la vieille idée confortable que les fossiles fournissent des preuves d'un changement évolutionniste graduel.
“Quelle que soit l'opinion qu'on veuille se
former à partir des preuves paléontologiques, elles n'offrent aucun élément
convaincant qui permette de croire que le phénomène de la vie se conforme à un
modèle continu. Les intervalles restent encore inexpliqués. [2] Dan son livre “Les Grandes Découvertes de la Science”, page 38, Gerald Messadié condamne la fabrication de l’Homme de Piltdown qu’il pensait être l’œuvre de Sir Conan Doyle. Selon Massadié, ce serait fabriqué à des fins vengeresses... par Doyle... exaspéré par l’hostilité des savants à l’égard du spiritisme, auquel il croyait fortement.” En fait, la fabrication était l’œuvre du curateur du British Museum, dont les preuves ont été découvertes dans un coffre au musée portant ses initiales. [3] Citations provenant du livre “Evolution Une théorie en crise”, par Michael Denton, Champs-Flammarion, 1992, les pages356-358.
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